[... Extrait de l'article ...] S'il a interdit le phosgène, condamnant du même coup deux-tiers de l'activité et 350 emplois à la SNPE et à Tolochimie, Jean-Pierre Raffarin s'était réfugié derrière le CDH (Conseil départemental de l'hygiène) pour décider du sort de la plus importante usine du pôle chimique. Si le CDH a un avis consultatif, il est l'ultime filtre que le préfet devait considérer avant d'autoriser bientôt la réouverture partielle. On le sait, le sujet est houleux, l'interdiction du phosgène n'ayant pas rassuré les riverains et ayant provoqué la colère des salariés. Le CDH, à huis-clos, n'a pourtant pu l'examiner dans une sérénité optimale. La préfecture l'avait fait précéder d'une dizaine d'affaires moins sensibles... Ce n'est qu'après six heures de réunion, [...]
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