[... Extrait de l'article ...] Après la colère, c'est la résignation pour les quelques centaines de salariés de la SNPE qui se sont rassemblés hier après-midi devant la préfecture de Toulouse. Conséquence de la décision du 1er juillet du Premier Ministre d'interdire le phosgène, le groupe chimique (dont le phosgène générait 70 % de l'activité) va faire l'objet d'un plan social sans précédent: au moins 356 suppressions d'emplois. L'ambiance était donc plutôt morose. Banderoles en berne, visages fermés empreints d'amertume, l'atmosphère en disait long sur l'inquiétude générale. « Mon avenir? Remplacez le 's' de SNPE par un 'a' » lâche de manière lapidaire un salarié. « Bien sûr que nous sommes inquiets, déclare un autre salarié dépité, mais aujourd'hui c'est surtout un sen [...]
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