[... Extrait de l'article ...] Comme les salariés d'AZF, les salariés de la SNPE ont l'impression d'être les laissés pour compte de la catastrophe. « On a été montrés du doigt, mis de côté comme si nous n'étions pas sinistrés nous aussi, disent-ils. Voir ''SNPE, usine de mort'' sur le bord de la route, ça suffit. On n'a jamais tué personne. On peut comprendre le traumatisme des gens, mais il faut comprendre aussi le nôtre. » Un traumatisme psychologique bien sûr, comme tous ceux qui ont vécu de prés le 21 septembre. Mais à cette blessure morale (et parfois physique) s'est ajouté un stress supplémentaire, celui de leur avenir. Dix mois que tous se demandent s'ils vont conserver leur emploi. Dix mois que leur mari ou leur femme ne sait plus quoi dire aux enfants. Fau [...]
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