[... Extrait de l'article ...] L'usine ou la ville ? L'alternative peut se formuler ainsi : ou bien les quatre usines qui composent la plate-forme chimique du Sud toulousain – AZF, dont l'explosion a provoqué la catastrophe du 21 septembre, la SNPE, Tolochimie et Isochem – quittent la ville, ou bien c'est une bonne partie de la ville (entre un quart et un tiers) qui devra déménager ou être gelée à cause de l'extension des périmètres de sécurité. Telle qu'elle se pose à Toulouse, la question des risques industriels en zones habitées, qui fait l'objet d'un grand débat national (Le Monde du 21 novembre), n'a rien d'abstrait. C'est une question à 30 morts, 3 000 blessés, 11 000 logements détruits ou gravement endommagés, 50 000 sans-fenêtres, plusieurs dizaines d'entreprises [...]
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