[... Extrait de l'article ...] Albertine Ruffin, 89 ans, vivait depuis 1936 dans son appartement, au premier étage d'un immeuble de l'avenue de Muret. Autant dire depuis toujours. Elle était dans sa salle à manger lorsque l'explosion a pulvérisé ses fenêtres. Légèrement blessée par des éclats de verre, « elle avait mal au poignet et au dos, mais surtout, elle avait du mal à respirer et sentait une oppression au niveau de la poitrine », explique Raymond, l'un de ses neveux. Dans l'après-midi, une voisine qui s'occupait de son linge l'a conduite à l'hôpital. Deux jours plus tard, le dimanche soir, elle décédait d'une crise cardiaque, selon l'autopsie pratiquée le lendemain. Une cause naturelle de sa mort qui l'écarterait, selon les enquêteurs du SRPJ, de la liste des victi [...]
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