[... Extrait de l'article ...] « Je n'étais pas chez moi quand s'est produit l'explosion. Je suis rentrée aussi vite que possible. Je craignais beaucoup pour Mme Vidallon. Elle vivait seule et comme elle avait été agressée plusieurs fois, elle se fermait dans son pavillon de la rue de la Corse. Quand je suis arrivée, elle était sur son fauteuil, maculée de sang. Une fenêtre lui était tombée dessus. C'était terrible, raconte une voisine. J'ai réussi à obtenir un médecin uniquement en début d'après-midi. Elle souffrait de nombreuses plaies à la face et, également, d'un oeil mais j'ai pu obtenir une ambulance pour l'évacuer vers une clinique seulement à 16 heures. Je m'en veux. Peut-être que si elle avait été hospitalisée plus tôt, elle se serait remise... ». Marguerite Vid [...]
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