[... Extrait de l'article ...] Un an après la catastrophe, le bilan est conforme aux craintes émises par les responsables économiques au lendemain de l'explosion. La disparition des activités de chimie traditionnelle, fabrication d'engrais avec AZF et produits phosgénés avec la SNPE, affecte un équilibre économique qui était déjà soumis aux turbulences des marchés de l'aéronautique et de l'espace. La chimie conservera-t-elle sa 3e place par sa production industrielle mais aussi par le nombre de laboratoires, étudiants et chercheurs qu'elle emploie? Et pourra-t-on se féliciter encore de l'étroite et fructueuse collaboration entre le monde de l'entreprise et les labos de recherche, l'enseignement supérieur pour la chimie occupant 4.200 personnes à Toulouse? Plus inquiets q [...]
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