[... Extrait de l'article ...] La fin du phosgène à Toulouse, décidée par le premier ministre Jean-Pierre Raffarin, et annoncée le 1er juillet en même temps que l'autorisation partielle de redémarrage du pôle chimique de la ville, provoque, comme on pouvait s'y attendre, des dégâts sociaux. Jeudi 18 juillet, devant le comité central d'entreprise, la direction de la Société nationale des poudres et explosifs (SNPE) a annoncé la suppression de 492 emplois : 296 (sur 451) dans son unité de production de Toulouse, les 106 postes de sa filiale, elle aussi toulousaine, Tolochimie, enfin 52 (sur 142) au siège parisien et 38 des 138 emplois du site de Sorgues (Vaucluse). L'usine toulousaine de la SNPE produisait et utilisait du phosgène, un gaz entrant dans la fabrication de nom [...]
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