[... Extrait de l'article ...] Ce sont 200 emplois sauvés penseront les plus optimistes. Une goutte d'eau rétorquent les pessimistes qui n'oublient pas la fermeture d'AZF et de Tolochimie. D'ores et déjà, près de 860 employés sur les 1.100 qui travaillaient sur le pôle chimique avant l'explosion du 21 septembre savent qu'ils pourront tirer un trait sur leurs espoirs de retrouver leur outil de travail. Alors certains s'interrogent. La décision de ne pas reprendre la fabrication de phosgène relève-t-elle de la chronique d'une mort annoncée pour la chimie toulousaine? Beaucoup de salariés le pensent. A la SNPE d'abord, où Jean-François observe que « le peu d'ateliers qui restera ne sera pas viable à terme. C'est le phosgène qui faisait vivre l'entreprise. Le reste n'i [...]
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