[... Extrait de l'article ...] Depuis plusieurs mois, la SNPE brandissait le spectre de la fermeture à long terme. « Le phosgène, c'est notre fonds de commerce. Si on l'interdit, on supprime près de 70 % de notre activité. Le site toulousain ne serait plus viable » n'ont cessé de clamer les responsables du groupe. La décision que 620 salariés (480 à la SNPE, 100 à Tolochimie, 40 à Isochem) redoutaient a été prise. Et Raffarin a plutôt suivi Jospin, qui croyait lui aussi « à un redémarrage possible sans phosgène ». Même si le Premier ministre leur a passé de la pommade en soulignant « leur comportement exemplaire », même si, dans les hautes sphères, on comprend leur « sentiment d'injustice », les salariés, eux, n'y croient guère. « C'est un désastre. Dans un premier te [...]
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