[... Extrait de l'article ...] S'il y a un mot qui, depuis un an, accompagne et conditionne l'instruction de ce dossier, c'est bien le phosgène. Le gaz maudit, parce qu'il est moins connu que le chlore ou le nitrate d'ammonium, ne cesse de faire l'objet d'interprétations divergentes. La vocation industrielle de la SNPE étant étroitement liée à la production de cet intermédiaire de synthèse, l'entreprise s'est toujours considérée en sursis depuis qu'un arrêté préfectoral est venu en suspendre l'activité au lendemain de l'explosion. Pourtant le groupe à capitaux d'Etat dirigé par Jacques Loppion pouvait opposer des arguments massue. Malgré la puissance de la déflagration, la ligne de phosgène qui court sur presque sur deux kilomètres et alimente sa filiale Tolochimie avait [...]
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