[... Extrait de l'article ...] Ce geste de solidarité envers le directeur et le sous-directeur illustre à lui seul le clivage entre ceux qui ont vécu la catastrophe et les instances syndicales départementales de la chimie. Pour les premiers, « tant que l'enquête n'est pas terminée, rien ne permet de mettre en cause le personnel ou la direction de l'usine ». Pour les autres, « quelle que soit la faute commise, un salarié ne fait qu'obéir à son patron; le PDG et les actionnaires sont donc les seuls responsables ». Un argument que les ouvriers d'AZF ne veulent pas entendre. « Attaquer la direction, nos ingénieurs, nos cadres, c'est nous accuser à nous car nous faisons un travail d'équipe. Nous étions tous compétents. Nous n'allions pas travailler la peur au ventre. C'éta [...]
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