[... Extrait de l'article ...] Un bilan pour l'histoire et puis plus rien! Le black-out! Cachez ces victimes que nous ne saurions voir. Eh bien non. De la clinique où elle suit une rééducation longue et difficile, Géraldine Mackaie, la présidente de l'association « Vivre après l'explosion de l'AZF », passe de nombreux coups de fil pour fédérer les victimes et les inciter à se faire connaître (1). Et pour cause, selon elle, « on a beaucoup parlé des sans-fenêtres, mais les victimes et les sinistrés sont indissociables. On a occulté toutes les victimes physiques. En cachant les conséquences concrètes du danger que constitue l'industrie chimique, on n'a fait que servir la cause d'AZF. Or, aujourd'hui, il y a encore des blessés traumatisés qui se murent dans leur silence. [...]
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