[... Extrait de l'article ...] Certains ont perdu leur lieu de travail, d'autres leur santé ou leur emploi. Leur lutte pour en pallier les conséquences ne dépassait pas leur établissement. Lundi soir, les syndicats de ces entreprises et collectivités ont dit stop. « Il faut qu'on se retrouve au-delà de nos étiquettes syndicales. Il faut nous adresser à l'ensemble des salariés, du pôle chimique ou non, pour que côté emploi la situation soit au moins égale à ce qu'elle était avant le 21 septembre », a insisté Isabelle Ricard. Ensemble, ils ont évoqué le sort des sous-traitants, des CDD, des CES ou des intérimaires, premières victimes de l'explosion. Ils ont décidé de regrouper les informations sur leurs luttes syndicales. Surtout, ils se sont prononcés pour un soutien c [...]
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