[... Extrait de l'article ...] Presque trois mois après la catastrophe du 21 septembre, les conclusions de l'enquête judiciaire n'ont toujours pas été rendues publiques. Mais les investigations menées par le collège d'experts mandatés par la justice, les enquêteurs du SRPJ et les spécialistes du laboratoire de police scientifique de Toulouse semblent converger vers la principale hypothèse de départ: celle d'une auto-explosion du stock de 300 tonnes d'ammonitrates entreposé dans le hangar 221 de l'usine AZF. Selon la piste la plus récente explorée par les experts, cette auto-explosion ou auto-inflammation aurait pu se produire à température ambiante, c'est-à-dire aux alentours des 24 °C à l'ombre relevés ce jour-là dans l'agglomération toulousaine. Cette nouvelle hypothès [...]
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