[... Extrait de l'article ...] Jacques Ribis n'en sait rien. Mais, dix semaines après le 21 septembre, il pense à tous ceux qui, comme lui, attendent encore que les travaux démarrent pour relancer leur activité. Alors, de son garage Centre autop, route de Seysses, il a voulu lancer un coup de gueule. « Contre tous ceux qui attendent peut-être que je mette la clé sous la porte pour ne pas avoir à payer. » Avec son associé Laurent Meziani, il perdrait son outil de travail. Mais leurs sept salariés perdraient également leur seule source de revenu. Une perspective à laquelle tous refusent encore de croire. Tout marchait si bien, en effet, avant l'explosion. D'un chiffre d'affaires moyen de 400.000 F par mois, ils étaient parvenus à dégager 600.000 F de chiffre d'affaires [...]
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