[... Extrait de l'article ...] Aujourd'hui, le site de la Semvat n'est plus qu'un amas de tôles inutilisable. 500 employés sur les 1.700 que compte la Semvat sont sinistrés, touchés directement dans leur chair ou leurs biens. Le 21 septembre, Francis Grass discutait des salaires en réunion syndicale. Projeté contre son bureau par le souffle, il perd connaissance et se réveille plusieurs minutes plus tard dans une mare de sang. Aujourd'hui, le patron « survivant » revient, pour la première fois dans une interview, sur ces moments douloureux. Il évoque aussi les perspectives d'avenir de la Semvat. Comment allez-vous aujourd'hui, M. le directeur ? Vous revenez de loin ? Pour tous ceux qui ont été blessés à la Semvat, ce jour-là, comme moi, on a l'impression d'être des survi [...]
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