[... Extrait de l'article ...] Bref, la crainte d'une « fragilisation totale » du tissu industriel se fait jour. Et de ce point de vue, soulignent les experts, « la simple addition des emplois ne suffit pas à brosser le tableau réel du paysage ». D'autant que la chambre de commerce et d'industrie fait également remarquer que « mille enseignants et chercheurs, et 3.000 étudiants gravitent également sur l'orbite de la chimie toulousaine ». PLUS VALUE Alors, vient l'idée d'un « démantèlement partiel ». Qui séparerait le problème d'AZF de celui de son voisin SNPE. En supprimant l'un et en gardant l'autre. Sur cette base, l'impact économique se mesure de manière différente. D'abord parce que l'essentiel de l'usine azf est déjà détruit. Ensuite parce que les productio [...]
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