[... Extrait de l'article ...] Deux mois après, la cicatrice ne se referme pas. « Le jour du drame, nous l'avons cherchée toute la journée avec ma fille. Un vrai calvaire qui s'est terminé à minuit passé. Pourtant, ils savaient. Son corps a été découvert très vite. Je ne comprends pas pourquoi on ne nous a rien dit. La panique qui régnait n'explique pas tout », dénonce Pierre Pifero, dont l'épouse a été victime de l'effondrement du garage Speedy, le 21 septembre. Comme son mari, Nicole Pifero, 49 ans, travaillait au centre de tri de la Poste à Lardenne, à Toulouse. Son métier depuis plus de vingt-cinq ans. Après avoir élèvé sa fille et son fils, aujourd'hui âgés de 20 et 25 ans, elle profitait de son temps libre pour assouvir sa passion des voyages. « Deux fois par an, e [...]
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