[... Extrait de l'article ...] « Et maintenant, qu'est-ce qu'on fait? », la question est sur toutes les lèvres dans les quartiers sinistrés. Car, si le débat est intense autour du devenir d'AZF et plus largement du pôle chimique, sur le terrain, tout semble vitrifié. Tout est et demeure en l'état de catastrophe. Des deux lycées dévastés (Galiéni et Françoise), aux collèges (Stendhal, notamment), en passant par l'hopital Marchant et quelques 11.000 logements annonce la mairie de Toulouse. Et de plus en plus de Toulousains se demandent pendant combien de temps une partie non négligeable de la ville va conserver son aspect de champ de bataille. « Il va bien falloir faire quelque chose », s'interroge cet employé d'un magasin de la route d'Espagne. En faisant remarquer [...]
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