[... Extrait de l'article ...] « IL faudra du temps ». Au soir de la plus grosse catastrophe industrielle française, les experts judiciaires et les policiers du SRPJ de Toulouse se savaient au pied d'un énorme chantier. Avec, devant eux, une mission délicate: trouver une explication à un événement a priori inexplicable. En tout cas exceptionnel. L'explosion de 300 tonnes de nitrate d'ammonium déclassé et stocké dans l'entrepôt 221 de l'usine chimique AZF. Un produit réputé anodin, que les nomenclatures préfectorales classent pourtant dans la catégorie « danger d'explosion et d'incendie », mais dont la dangerosité avait, semble-t-il, été quelque peu oubliée au fil du temps. Malgré les précédents historiques. Dès les premières heures des investigations, grâce à l'auditi [...]
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