[... Extrait de l'article ...] Ancien professeur de l'IUFM de Toulouse, le chimiste Gaston Lévy ne s'était pas exprimé jusqu'à présent. Et sa position qui va à l'encontre de certains de ses confrères conforte la thèse privilégiée par les enquêteurs du SRPJ et du laboratoire de police scientifique. « La probabilité d'un lent processus chimique favorisé par la présence d'eau et d'impuretés catalytiques aggravé par un échauffement local est forte dans le cas de l'usine AZF », note-t-il, en marge de l'interview que nous lui consacrons aujourd'hui. Et pourtant. Quand sur le terrain, au plus près du cratère formé par l'explosion des 300 tonnes de nitrate, les experts judiciaires évoquaient déjà, en vulgarisant leurs propos, une possible « auto-inflammation » du tas de nitra [...]
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