[... Extrait de l'article ...] Mais l'usine, il la connaît aussi de l'intérieur. « J'y ai travaillé quatre ans, de 82 à 86. J'ai été à la colle, à l'ammoniac et à l'urée. Mon beau- père a lui passé toute sa vie là-bas, de 18 à 58 ans. Et puis, il y a aussi ma mère qui y a travaillé en tant que chef du secrétariat général. » Les conséquences de l'explosion, Yves Perrot les subit donc de plein fouet. Il y a ses anciens collègues de travail « qui n'ont pas vraiment le moral, ils ne savent pas ce qu'ils vont devenir. Jacques Chirac vient d'annoncer qu'il voulait fermer l'usine mais ce sont des centaines d'emploi qui vont partir avec. » Et puis, il y a les dommages causés dans son appartement, son immeuble et son quartier: les Tours de Seysses. « C'est vraiment la désolation [...]
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