[... Extrait de l'article ...] En effet, si la reprise est assurée pour la plupart des élèves de Gallieni et de Françoise qui ont trouvé asile à Roland-Garros et dans divers lycées de Toulouse (Mirail, Hôtelier, école de coiffure Skoled'art...), le redémarrage de Déodat se fait au compte-gouttes. Les dégâts sont considérables et les expertises ont, chacune à leur tour, fait apparaître de nouvelles déficiences des structures. Aux détériorations apparentes du premier jour (300 fenêtres détruites!), sont venus s'ajouter des éléments de poutres vrillés et des armatures portantes affaissées. Autant de menaces sur ce qui fit l'âme (et le prestige) de Déodat: ses ateliers techniques. Certes, les laboratoires chimiques sont intacts et les classes préparatoires aux grandes éco [...]
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