[... Extrait de l'article ...] Dans ses structures, la base aérienne 101 de Francazal a subi très peu de dégâts; quelques vitres soufflées dans le secteur du mess. Par contre, une soixantaine de familles de militaires n'a pas été épargnée par des dommages à leurs habitations. Vendredi 21 septembre, quelques minutes après l'explosion, la base était sur le pied de guerre. « Avant même le déclenchement du plan rouge », précise le colonel Gasnot, commandant de Francazal. Durant l'été, le médecin-chef de la base avait rencontré le professeur Virenque, directeur du Samu 31, afin de répertorier tous les moyens logistiques de l'unité militaire et réactualiser la collaboration entre les secours civils et l'armée de l'air. « Avant d'attendre les ordres, nous avons mis en ale [...]
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