[... Extrait de l'article ...] La conclusion de Jacques Lumeau- Préceptis, psychologue à l'association pour la sauvegarde de l'enfance invalide, est sans appel: « Une semaine après le drame, rien n'est terminé, au contraire. Les chocs psychologiques mettent parfois du temps à faire surface. Maintenant que les choses se calment, il est possible que l'on voit un bon nombre de personnes craquer. Le week- end devrait être difficile, d'autant que les professionnels et les bénévoles commencent à s'essouffler. » Présent sur la cellule de soutien de Papus-Tabar-Bordelongue depuis les premiers jours, ce bénévole n'a pas le loisir de se tourner les pouces. « Il y a beaucoup de monde à partir de 11 heures, puis à 15 heures. Mais les cas sont bien différents. Au début, vendredi et s [...]
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